Ils eurent l’impression de quitter le cercle. tout ce qui devient sans fin, qui tourne en rond. Quitter le cercle pour une ascension pyramidale ? Mais ils restèrent plutôt en bas , à la porte, ou à la regarder,à attendre Duo, dur haut, du haut, duo, une partie d’eux monta dans le vol de la graine fusée, une autre resta accrochée aux rêves du vieux monde. D’une partie à l’autre se joua l’histoire. « Il » parlait, chantait, créait le spectacle sur le vif selon les soirs et l’auditoire. « Elle » l’accompagnait d’une présence mystérieuse et musicale. cherchant une idée à donner il y eu l’idée duo, couple mutant, Femme-homme égal et mixé, un Groupe à deux avec les énergies ensemble et inverse. Comme l’amour sur scène, en mots, en sensations, en sons. « Elle » voulait ralentir tout pour apprendre, découvrir. Alors commence l'initiation passant de l’un à l’autre… pacte sacré, deux qui s’ouvre pour l'autour, Chemin lavé de tout programme où rien n’est apparemment visible. Amoureux initial, être de la totalité. Manifeste ! Courant du grand changement imperceptible, jeunesse définitive. Vie, courants, magnifiée une trouée verte liquide et boisée, étendue de silence. Pénétrer dans l’expérience. Percer l’onde.Côté grisaille : la discute en boucles, l’urgence dans la trajectoire, . Laissez-passer d’années. Chaque toucher les ramène l’un à l’autre.Présence « alanguie dans la maison claire ». Présence accélérée des petits quotidiens. Un combat de milliers de temps, pris en terme de Paix sans inverse, un album noir et blanc pellicule ombres et lumières. Ils sortent main dans la main de la maison blanche de nuit avec la bande magnétique. Cuir noir brillant et voile. Violence et légèreté au sortir de l’impasse. C’est le duo de la pochette. Trouver l’onguent. De face, « ils » sont dans un lit vaisseau. Sur une vague de bande magnétique déroulée. Beaucoup de cheveux, de maquillage, de coups de flash, d’ombres, de complicités, d’instruments S.F., derrière le ciel de plâtre jeté. A l’intérieur cela s’appelle « concept », cela dit :
La chambre à MusiQJe me suis retrouvé seuldans cette chambre à musique.En bas la muse musicienne joue avec la nuit,et la nuit revenance encore.Je me sens tout prêt à te dire d’où je viens au loinau doux au mal enfuiau lien au corps et sa dansecar ta pénombre vientet tu t’approches de nousJe me suis retrouvé seul dans cette chambre à musiqoù tout a commencé très tendre, je croisdans le lit grand comme une scènela nuit dans sa caresse et l’oubli, les années, le délireet cette chanson que je n’arrive pas à écrireelle parle d’hier et je suis branché sur toisur l’aujourd’hui demain et le lit grand comme une scènesouvent, quand vous venez nous cueillirJe me suis retrouvé seul dans cette chambre à musiqles êtres qui vivaient là sont ce soir, enrobés d’un mield’une rosée de vert enfance leurs calvaires sont partisvers ces lointains passages apaisésTout est silence et reposdans ces brouillards adolescents et avant ces jardinset ces mains qui me menaient à part cette peur d’enfantet tout ce temps que j’ai dû perdre dans les méandresde ma rock’n’roll poétique générationJe me suis retrouvé seul dans cette chambre à musiqcette muse de treize ans, et son corps de motsont balayé le vide, c’était le début du langage l’ouvre-imagesElle s’est jetée lointaine dans ma guitare de mancheurLa route et la musiq au boutla musicienne et le grand éveildu CORPS-COEURS.
Graine-FuséeElle prend dans ses mainsdu fusain, une feuille elle dessine de son univers-îleles traces, les lignes de son coeuret le dessin dort il se remplit d’iciau premier jour demain au départ futur, il dessineun rayon de sa couleur, de ciel et de terre devant ses yeuxelle dessine un rayon de sa couleur, de ciel et de terre devant ces yeuxle dessin devient une graineune flamme visible à tous fousà tous guerriers de la fin des motsune feuille du frêne des mondesune graine ouverte de métal lourd et de signespour un raid dans l’instant dans des siècles une fuséedeux corps moulés dans le collant spatialtrois pyramides de la course du soleilet des graines flammes feuilles graines-fuséeEt nous sommes à l’intérieur juste pour faire un autre mondec’est la vraie vie notre vie surtout pas que sur une scène c’est dans la vie juste pour faire un autre monde qui est aussi sur l’iris de vos yeuxjuste pour faire un autre monde au coeur du grand désirau coeur du grand désir et des graines flammes feuilles graines-fusée
Laisses la dériveQuand tu dis, je vais malla journée se meurtJe n’ai rien fait rien posé de toutes ces heuressur le livre, la bagarre,l’urgence de mon tempsRien ne peut s’ouvriralors laisses la dérive, le malheurne parles plus de tes maux, viens ne dis plus rienEcoutes demain t’entendre dire…Entendre dire d’autres appelsJ’ai traversé de grands champsIl est temps de laisser le malQuand tu dis : je vais bien la journée se meurtJe n’ai rien fait rien posé de toutes ces heuressur le livre, la bagarre l’urgence de mon tempsMais, tout peut s’ouvrir Alors largue la dérive, le malheurne parles plus de tes maux viens ne dis plus rienEcoute demain t’entendre dire Entendre dire d’autres appelsJ’ai traversé de grands spectaclesIl est temps de prendre le douxCe doux c’est after hainesans cames, sans marge sans planeriesans visite, sans maître seul tripes et ragesans méthode ou livre message ni tous ces vieux voyages sans amour ce doux c’est à deux tripes et flammes Juste un départ de musiq Juste une bagarre d’espace à gagner un rock hors temps
Concept et MusiQ Yvans&DanouTextes claude YvansPhotos P.Maechler et C.Yvans Origine :1978 a 1982
Concept Yvans&Danou
Extrait :La chambre à MusiQ
ExtraitGraine Fusée
ExtraitL'Evènement
Extrait Laisses la Dérive
Ils entrèrent dans un monde parallèle, un univers avec d’autres valeurs ou on recommence tout depuis le départ. Table rase, jeter ce qui existe,reconstruire soi. C’était dans l’air, à d’autres endroits du monde, d’autres êtres créaient ou ébauchaient l’idée, d’outil de développement personnel au nom étrange. C’était dans leur air, au bord de l’art et cela débordait. En simple pour saisir du dehors Un courant qui ne fonctionne que quand il émet Basé sur la notion d’équipage Eux c’était un couple mutant Intervenir, en se changeant soi-même.En apprivoisant des contacts rituels entre son présent possible de communiquer avec un plus subtil ! » Rentré dans ce jardin-là, il n’y aurait même pas à réfléchir… goûter, récolter à cet endroit là « Elle » fit un dessin. « Il » fit un texte de chant. dans une philo-perso nue et transparente.La base du climat sonore, un rock hors temps. « Il » analyse le dessin pour en faire un emblème, un sigle, une flamme faite de deux corps branchés sur l’origine de leur monde. Aventure vécue en explorateur maintenant . Un flux, une mouvance à explorer au fond de soi. Transmutation et fermeture de la fusée. pour s’enfermer dedans quand on le veut. Déconnectage . Changer le nom des jours, les appeler Eclat, Musique, Mot, Aujourd’hui, Demain, D’îles, D’ailes. Renuméroter les années. Un observatoire où se trouve le combustible pour retrouver ses origines. Un mélange des esprits vécus en vrai, sur un plan à deux dimensions. L’une : les marches d’un temple antique, . Les pierres sont alignées, comme le silence d’un ouvrage Les marches sont moitié ombres moitié soleil. La montée est très longue jusqu’au temple, comme des marches de sommeil comptées pour s’endormir. L’autre dimension : un être affairé sur des computers, des écrans dans un laboratoire lumineux. Le lien entre l’immuable passé et les machineries du futur. Un courant. Rien qui ne peut s’apprendre dans une école, dans la logique des systèmes de sociétés. Une scène blanche dont nous sommes le chorégraphe. Féminité, création, livrés à nous-mêmes Si on décrée beaucoup autour, décréer et créer à la place un autre autrement Un vol d’urgence pour retrouver la graine fusée. Transparentes et musicales débordant son eau primordiale dans le présent D’îles D’ailes. Sensitives machines. Envol corps-coeur. Le Chant est là.
Quand tu appellesL'eau des DoucesViens te laisser coulerdans ma voix glissersous mes doigtsc'est une rivièreimmenseinfinie rivièrequi dansesi tu voulaisje t'emmènerai écouterchaques instantsde lumièrequand tu viendrason construiraun jardin aux mille heuresTransparentes
Dans ta maison Ton jardin tes secrets Secrets dans ta rivièreTu as posé toutes les racines des fleurs des arbres Tu as cachéTant de rêves tant de toi Marché doucement jusqu' à Moi le Son de tes vagues nous appelait déja à revenir iciDis-moi pourqu'oi tu ne voudrais pas arrêter un instant le tempsje te dirai comment un jour on pourrait devenir Transparents
Quand la nuit nous endortSous les paupières faites d'orLoin des murs Loin des livresloinPlus loin que nos corpsA marcher des collinesBercées parmi les ondesAvant de franchirCe collier si fragileLa sève en perles d'ilesS'épanche au long des rivesSi elle y dortS'y repose encoredans un Délire d'Haut
Arriver dans la maison d’enfance.Premier acte, la blanchir. Blanchir les murs des souvenirs pour projeter le nouveau, ou le rêve d’enfant. Du plâtre jeté sauvagement à pleines mains avec violence, une thérapie de plâtrage, un véritable combat avec les murs, battage, griffage, en s’aidant d’hurlements. Coller des coquillages avant le séchage, laisser la puissance des éclatements,cela donne une plage blanche verticale, volcanique, une maquette en hauteur de lune. Entourer le tout de mauve, de marron, de sépia, éclairer avec des bougies. « Le blanc plâtré lisse bien l’interrogation de l’heure. »Défatiguer l’ensemble en mettant des fleurs, des bouquets avec n’importe quoi, avec les ronces de la friche du jardin, l’acacia des buttes de l’enfance, des épines. En haut, un bureau pour écrire, une chambre avec un matelas qui fait toute la chambre. Courir au lit, perdre sa compagne dans les replis géants du drap à la Cristo. La retrouver le lendemain après une nuit de recherche. Et au bout, en descendant quelques marches, le laboratoire, avec toutes les potions sonores, et les traitements ne mettant jamais moins d’une décennie pour agir.En dessous, dans la cour, une chambre à soleil. vieux garage à Panhard avec cette vieille odeur d’huile. Dans le jardin, la cabane WC, temple de la méditation, de répétition de texte, de tous les changements, toutes les fatigues, tous les malaises,tous les éclaircissements. Quand monte un stress, se réfugier dans le corps de l’autre, se laisser caresser des heures, appeler l’instant « les douces »Laisser germer, récolter chaud, mais dans très longtemps, après bien des froids.Etre confiant, il y a quelque chose de physique dans la confiance. Arrivés dans ce lieu, « ils » eurent beaucoup d’éclaircissements "Il " : D' îles "elle " : D'ailes Puis « elle » s’interrogea, 7 ans qu’elle voyage déjà avec lui. Les questions arrivèrent d’abord doucement. — « Si j’apprenais la guitare vraiment ? » — « Si je travaillais vraiment ma voix ? » — « Si on se mariait ? » — « Si je faisais autre chose ? » — « Si je le quittais. Parce que je l’aime ? » — « Si je le laissais vivre son truc ? » — « Si je vivais pour moi ? » — « Si je me trouvais un métier ? » « Il » est rivé sans savoir à cette table de bureau, écrasé par la radio fort en bas, et l’Eros lu en haut, parcourir des kilomètres de sexe-lecture,des kilomètres de temps à le faire en vrai, en surimpression ne plus savoir comment calmer les dettes, les répétitions, l’organisation, les défouloirs de mots, se tenir à la bonne surface. Rivé sur les lettres recommandées, le fric qui pleure à la porte.« il » remonte au bureau, détecter ! — « Comment il trouvait des concerts ? » Même s’« il » était passé voir entre les spectacles, rencontré le directeur, l’animateur, ou l’association, avec son presse-book, beaucoup de mots, créer une ambiance, donner l’envie de voir, se plonger dans la vie qui est en face, au mieux inventer une complicité, , Il fallait téléphoner après, passer des heures, des jours au téléphone à faire relancer l’envie d’un spectacle possible.Réécrire avec une étincelle pour allumer le contrat de passage pour que la salle, la scène soit à « eux » pendant un après-midi, une soirée le temps de préparer… être chez soi, jouer. Faire un vaisseauà chaque jour différent, fondu dans la matière du lieu. Pour posséder ces shows et ces abris de quelques heures, en dehors des systèmes d’agences artistiques, il faut avoir une agence artistique pirate et portative, c’est-à-dire des caisses de fichiers. Le résultat dans la vieille maison blanche c’est qu’il y avait tout à faire pour le DUO Répéter encore et encore le show, en faire un rouage parfait. Et se battre avec cela. En écrivant du nouveau « D’îles » déclare l’ouvrage ouvert dans la maison suspendue qui navigue.
L’événementOn prend nos cartes, nos plans, notre route des mots avant celle à vivre réelle Et l’événement n’est pas d’hier dans tes restes tes rêves Tes rêves terrestres l’événement n’est pas d’hierde ton leader, tes stars sur leurs plages te viennent d’autres motsqu’ils ne disent pas d’ailleurs tu ne parles pas English argot non ?l’événement n’est pas d’hier dans les remember d’automnecocaïne blues voyage d'acidel’événement n’est pas d’hier On le fera aujourd’hui demainaprès vos modes vos retours, vos redites après mes modes mes retours, mes reditesl’événement n’est pas d’hierNous sommes réunis dans ces rivières de regards de demandes et devant sur la scène une star un lion océanun magma un fauve d’amazone un rocker irradié déferlentdéferlent des lumières au bout des doigtsmais est-ce que tu viens capter ?capter la puissance, la chaleur de leur magie follela capter pour toi pour elle, pour nous Pour ce qui n’a rien à voiravec les stars et le business Toi, qui voyage avec ce livre de poèmesToi qui voyage de festivals en largage de jobs mais commentcomment vivre capter.Capter la puissance la beauté pour les lendemains demains quand commence-t-on ?Que faisons-nous ? Tout est à faire à dire à redire ? tu dis ! vieux planeur, vieux baroudeurMais, en quelle langue parles-tu ? Viens malgré ta fatigue et tes plaieset nous ferons ensemble la jonctionSommes-nous toujours ce chariot ? Bourré de bombes et d’onguentsUn éclat D’Eros satiné Loin des dérisoires décadesde l’autre côté, des armées, des demains nucléaires des vieillards politiquesL’événement n’est pas d’hier, on le fera aujourd’hui demainaprès les modes, les retours, les reditesL’événement n’est pas d’hier. On le fera tout seul Au fond de soi, à deux, à trois, à des milliers, à deux, à…Selon la caresse et la demande secrète au jour ouverteSelon la CARESSE Juste un départ de musique Juste une bagarre d’espace à gagner.
Lieu point magique, constellation de circonstances notre laboratoire sonoreJuste quelques machines tremblantes, au son difficile à cueillirPrémices du vaisseau futur scientifiqueexplorations quotidiennes là, dans l’abripour préparer sa trajectoire l’abri, grand comme un pays de 7 ansgrand comme l’infiniment simple l’infiniment autre chosegrand comme un bateau d’artisan universel un nid d’enfantquitté pour la solitude retrouvé pour l’équipagePour l’expédition là, dans l’abri Pour préparer sa trajectoire une verdure paisible, banlieue ventée à toutes les vibrations du départ Tout près de l’immense ordinateur cérébral qui construit qui fiche nos milliers de données branchées sur la MUTATIONOù l’on retrouve ce corps de vent et d’écumeOR sacré et endormibain de pureté trop viteentre le chaos et la lumièrelavages de nos visites, nos amis, nos voyagesnos regards de sociétésoù toutes les vibrations-crache du monde se collentlavage pour les êtres mutants de l’unique futuret comme un jet de spermede bruits d’ici, de nouveau mondeOù apparemment rien n’est changémais où pourtant monte la sève de l’âge d’or :commence l’ère de nettoyageL’ère de nettoyageLes courants nous bouffent, nous Clash jusque dans nos repères Même dans l’éclat t’es dans l’histoiredans la suite logique puis inverse Vieille si vieille construction De cette sociétéTout est dans le programme came éternel retour la milite le cycle des inversesLes courants passés au businessEt nos vies qui doivent se calmer au passage des décenniesLe droit chemin tout ce foutu programme cette suite logique puis inverse !même si tu n'y croyait pasSortons de l’histoire muter Je me le dis à moi c’est pas des prophéties Seulement l’ère de nettoyage nous ne cherchons plus de miroir Dans la rencontre pas de rassurances ni toutes ces familles encore Nous installons des miroirs côté nous pour fouillerDans nos visages sur nos corps à danse la trace du futurQuand je te dis toi je te dis moi Je me parle et c’est toi qui mène de ton ombreNous nous inversons souvent dans d’autres fêtes de ce vaisseau mélange et rejet courons vers le voyage en avant Flair à rejeter les programmes Mettre en marche les machines à déprogrammer Le simple d’une rythmique acier Et la peau arbre tendue Le fond des bois lunaires Chant Terre secrète Enfermons-nous dans nos vaisseaux Nos carlingues commencent l’ère du nettoyage Un rajeunissement infini au regard d ‘un monde qui se finit Cherchons la marque que nous sommes Soleil et lune Des mutants à quitter le chaos Pour la fusée l’oeuf originelL’eau sur le corps dans le matin Une huile un parfum Un jour normal préparatoire d’appel Se hisser dans l’équipage se hisser dans le voyage-âge de vie même dans ce mondemême dans ce monde qui s’éteint se hisser dans l’équipagepour un autre possible un pas et l’on se trouvechacun et tous Aventure du 2 duo éternel et bâtisseuret bientôt il s’ouvre accompagné d’émotions d’êtres lumières équipage qui se trace une montéefête faite de corps et de sentichemin du sex-amour-oeuvre et conscience ensemblese hisser dans l’équipage se hisser dans le voyage innocence héros force et douceur. le résumé de son histoire dans son visage la marque des combats intérieursla victoire de l’être somme de toutes les défaitesêtre tout même dans ce monde même dans l’urgence même dans le videchanter simplement chanter vers le sensuel infini chanter simplement chanter vers un autre sacréalors deux êtres traversent un trou noir du cosmos un trou blanc de l’autre choseet derrière leur silence ils construisent leur : CONCEPT POUR LE NOUVEL AGE CONCEPT DE L’EQUIPAGETranscrit en signes vers toi, en sons d’attente en mots couverts des vagues du difficileen climats, lancés primairement vers UN AUTRE SACRE.
Extrait Lieu Point MagiQ
ExtraitEre de Nettoyage
Album 33t
Extrait l'Equipage